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Togo: Régime présidentiel ou semi présidentiel, le CPDC n'a pas fait son choix

Tout le monde s'attendait à connaitre le régime présidentiel sous lequel le Togo doit évoluer au cours des prochaines années aujourd'hui, mais hélas. Les membres du cadre permanent de dialogue et de concertation ne se sont pas reuni ce Jeudi matin pour délibéré sur la question. Sur place on a pu constaté ce matin du 03 Novembre 2011à la primature, la présence des membres du CPDC renové. Mais cette présence qui s'est soldée par une petite rencontre d'information qui n'aura durée que l'espace de 5min. On a pu noter l'absence du président du cadre, Pascal Bodjona, ministre de l'administration, de la décentralisation et des collectivités territoriales. Alors de quelles informations étaient t-il question? pourquoi les membres du CPDC n'ont pas pu décider ce jour le régime politique comme annoncé il y a une semaine?

 

jeudi dernier, le communiqué ayant sanctionné la 5e réunion des membres du cadre permanent de dialogue et de concertation, annonçait qu'une décision pourrait être prise au cours de la séance qui devrait avoir lieu ce jeudi 03 Novembre 2011. pour mieux comprendre les aventages et inconvénients des deux types de régimes en discussion: le régime présidentiel et semi présidentiel, les membres du cadre permanent de dialogue et de concertation du faire appel à deux experts constitutionnalistes me Zeus Ata Ajavon et Prof. Fambaré Ouatara Natchaba. Ils devraient encore se présenter au cadre ce Jeudi pour débattre sur les deux types de régimes. Ce qui devraient aboutir à un accord sur le type de régime qui régira le Togo pour les années à venir.  Le Togo a t-il besoin

 

AU compte au CPDC les représentants du RPT, de l'UFC, de la CPP, de la CDPA,de l'Alliance, de OBUTS et des femmes du REFAMP-TOGO et de la GF2D. le CAR, le PRR et l'ANC boycottent les travaux du CPDC quoique rénové, depuis 7 semaines. le CAR ne croit en rien les discussions qui s'y font et leurs finalités. l'ANC conditionne l'envoie de ses membres eu retour des députés de l'UFC exclus de l'Assemblée et qui se sont rattachés à ce parti; et le PRR qui était à la première réunion, a quitté dès lors pour des raisons de commodités. "ces gens ne peuvent rien proposer pour l'avenir de ce pays. dès les premières réunions, leurs préoccupations les premières c'est: combien va t-on nous payer, où allons nous travailler ..." avait-il déclaré, le leader du PRR, Jean Nicolas Lawson.

 

 

                                                                Alphonse Ken



03/11/2011
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